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Spiritualité / Les 48 Voies de la sagesse back  Retour
Voie no 4 : Connais-toi toi-mêmeConnais-toi toi-même

Vous est-il arrivé de monter dans une rame de métro pour vous apercevoir au bout d'un instant que vous aviez pris la mauvaise direction ?

Il se passe un peu la même chose dans la vie, quand pour tel ou tel projet, nous nous rendons compte que nous faisons fausse route.

L'expression Bébinat halev signifie " compréhension du cœur ". Le cœur est le siège de l'affectivité et comprendre son cœur c'est connaître son être profond. Ne dit-on pas : avoir " le cœur lourd ", " le cœur léger ", " le cœur brisé " etc ?

Beaucoup d'entre nous se trompent sur ce qu'ils sont, faute de prendre le temps de se connaître eux-mêmes. Il ne faut pourtant pas redouter de découvrir son vrai " moi " .
Souvent, à mi-chemin de sa vie, survient chez l'être humain cette crise existentielle qui le fait s'interroger sur ce qu'il a fait de sa vie. Il arrive même que cette remise en question le pousse à tout plaquer : job, femme, enfants…

Alors pourquoi attendre la crise ?

Se connaître est l'essence même de la vie. L'ignorer n'est pas vivre. Si vous ne comprenez pas comment vous fonctionnez, vous êtes un robot, une marionnette, tout au plus un zombi.

La vie est trop courte pour prendre le mauvais train.

Aller à l'essentiel

Essayez de deviner : c'est quelqu'un que vous adoreriez rencontrer et connaître sous tous ses aspects. Vous ne voyez pas ?

Eh bien, vous ! Vous êtes la personne la plus admirable que vous puissiez rencontrer !

Alors on se dit bonjour, on fait les présentations. Essayez de devenir intime avec vous-même. Faites comme si vous retrouviez un ami perdu de vue. Interrogez-vous sur votre vie, vos projets. Parlez de vos rêves, de ceux que vous allez réaliser comme de ceux qui sommeillent dans un coin de votre tête.

Commencez par le commencement. Vous rêvez de richesse, de célébrité, d'être quelqu'un de bien ? Vous voulez faire de grandes choses, avoir un but dans votre vie ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui vous fait avancer ? Que recherchez-vous?

L'auto-découverte passe par une série d'interrogations qui feront émerger la vérité. Posez-vous les dix questions qui vous aideraient à mieux connaître un ami. Attendez les réponses. N'ayez crainte, il n'y a personne pour se moquer de vous.

    Quel est le but de la vie ? Quel est le but de ma vie ? Pourquoi ai-je choisi ce métier ? A quoi est-ce que je consacre mon temps libre ? Quelle est ma motivation à ce que je fais ? Qu'est-ce qui me rend vraiment heureux ? Est-ce que je suis heureux ? Riche ou heureux ? Quel est le plus important ? Quels sont mes projets ? Pourquoi ? Quels sont mes rêves secrets et mes ambitions ?

Les réponses ne viennent pas de suite ? Normal. Elles peuvent même prendre des mois. Mais n'abandonnez pas et vous découvrirez ce que vous êtes. Les réponses viennent difficilement ? Après tout, c'est tout naturel, vous n'êtes pas une personne banale !

En fait la question de fond est :

Pourquoi je vis ?

C'est tout bête, et pourtant très déstabilisant. En nous une voix murmure : " C'est une question trop difficile, trop fondamentale. " Une résistance se dresse face à l'immense travail d'introspection que cela implique. Pourtant, il n'y a qu'en se connaissant que l'on peut se changer et changer sa relation au monde.

Prendre ses décisions en toute confiance

On hésite souvent à prendre des décisions car on a peur de commettre une erreur, et l'on a tort, car c'est l'incapacité de prendre des décisions qui est la plus grande erreur.

Si un mendiant reçoit une lettre lui annonçant qu'il a hérité d'un milliard, tant qu'il n'a pas lu la lettre, il est toujours un mendiant.

De même, D.ieu nous a donné le libre arbitre pour faire des choix de vie et s'élever, mais tant que nous n'en sommes pas conscients, nous ne le possédons pas vraiment. C'est pour cela qu'on accuse les autres de ses ennuis, alors qu'on était maître de décider.

Ne pas utiliser son potentiel, c'est le gâcher. Savez-vous quel est votre potentiel ? L'avez-vous déjà mis en oeuvre ? Vous voulez vous battre, n'est-ce pas ? Vous voulez être acteur de votre vie et pas simple spectateur ? Alors, entrez dans la vraie vie qui consiste à ne pas se laisser aller au gré des événements.
Faites la différence entre une décision réfléchie et un choix dicté. Est-ce bien vous qui avez décidé d'entrer à l'université ou était-ce pour faire comme tout le monde ? Aviez-vous sérieusement fait le tour de la question avant de conclure par un oui ?

Voici le discours intérieur que vous auriez pu vous tenir :

Pourquoi est-ce que je veux entrer à l'université ?
Pour avoir un diplôme.
Pourquoi ?
Pour pouvoir intégrer une grande école.
Pourquoi ?
Pour avoir un bon boulot.
Pourquoi ?
Pour rembourser l'emprunt pour payer mes études !

Grâce à ce petit questionnaire, nous venons de mettre en évidence l'irrationnalité de la démarche. La première raison de la décision doit être le désir d'acquérir une bonne formation.

Faites de même pour la question :

Pourquoi est-ce que je veux me marier ?

Attention ! Pas de réponse du tac au tac. Opposez toujours un pourquoi. Soyez franc avec vous-même, direct dans vos interrogations, patient et insistant vis à vis des réponses. Vous verrez, une réponse viendra.

Lorsque vous analysez sérieusement un problème, vous êtes sûr de prendre de sages décisions.

Essayez de cerner votre manque de confiance. Déterminez ce qui vous rend nerveux et dans quelles situations vous n'êtes pas vous-même. Qu'est-ce qui entrave votre prise de décisions ? Est-ce le manque d'habitude ? Ou est-ce la peur de regretter ? A moins que ce ne soit la paresse ?

Prendre des décisions doit être un plaisir. C'est notre moyen d'action sur le monde et la meilleure preuve que nous aimons la vie !

Identifier ce qui vous retient

Chaque fois qu'un but vous semble difficile à atteindre, essayez de discerner ce qui vous freine.

Chacun a ses problèmes. En être conscient permet de mieux se comprendre. Si vous n'affrontez pas les difficultés, elles vous empoisonneront inexorablement.
Jetez sur le papier ce qui vous arrête.

C'est déjà un pas important. Définir les obstacles, c'est les matérialiser et par conséquent faciliter la recherche de solution.

Demandez-vous :

Suis-je suis paresseux (e) ? Pourquoi ? Suis-je désorganisé(e) ? Pourquoi ? Suis-je coléreux(se) ? Quand ? Suis-je sur la défensive ? A quel propos ? Qu'est-ce qui me rend jaloux(se) ? Qu'est-ce qui me rend arrogant(e) ? Ai-je du mal à prendre une décision ? Pourquoi ? Est-ce que je manque d'autodiscipline ? Est-ce que je manque de confiance en moi ? Pourquoi ai-je du mal à prendre des initiatives ?

Les mauvais traits de caractère sont la source des difficultés. Dressez une liste de vos défauts et dépistez les plus gênants. Recherchez ensuite ce qui les éveille. Enfin mettez au point une stratégie pour les contrer.

Il est vrai que cette démarche prend du temps, mais avez-vous quelque chose de mieux à faire dans les minutes qui viennent ?

Décodez vos émotions

Soyez à l'écoute de vos états émotionnels. Sachez décoder ce que vous ressentez. Content ? Enervé ? Tendu ? Triste ? Les émotions sont le témoin de ce qui se passe en nous. C'est comme la température, lorsqu'on est malade, on la mesure pour savoir comment se soigner.

Identifiez ce qui vous contrarie. Qui ou quoi ? Est-ce un problème intérieur ou extérieur ? Par exemple, vous êtes irrité :

Pour quelle raison ?
Parce que mon patron m'a en….
Alors, pourquoi suis-je irrité ?
Parce que je lui en veux.
Et alors ! En quoi cela m'ennuie ?
Je me sens nul.

En fait, c'est lui qui est nul !

Remontez ainsi l'enchaînement de vos sentiments. Si vous ne le faites pas, vous allez rentrer et inmanquablement vous mettre à hurler sur les enfants.

Une fois que vous avez identifié la cause de votre malaise, relativisez. A l'avenir vous devrez, soit éviter certaines situations, soit apprendre à les gérer.

Apprenez également à éliminer les motivations négatives qui influent sur votre comportement. Exemple : Vous donnez de l'argent à une œuvre de charité. Quelles sont vos motivations ? : vous voulez aider l'humanité. Vous aimez agir. Vous pensez faire votre devoir ? Toutes ces motivations sont positives. Par contre, si c'est pour susciter l'admiration, votre motivation est négative, car elle est intéressée. Les motivations de cet ordre sont destructrices.

La prochaine fois que vous ferez un don, faites-le anonymement.
Faites attention également aux émotions positives. Méfiez-vous de l'influence de votre état émotionnel sur votre prise de décisions. Ainsi, n'achetez jamais une nouvelle chaîne hi-fi le jour où vous êtes d'humeur euphorique. Attendez. Réfléchissez. Ce jour-là, vous êtes trop " vulnérable ".


Mettez le doigt sur ce qui vous rend heureux, afin de renouveler le plus possible les occasions de l'être. Par exemple, certains matins vous vous réveillez en pleine forme, plein d'optimisme pour la journée qui commence. Conditionnez-vous pour retrouver cet état d'esprit les matins suivants.

Un autre exemple : vous avez bien travaillé et votre patron vous complimente. C'est très bien mais, avez vous vraiment besoin de ce compliment ? Non. La satisfaction du travail bien fait doit suffire.

Etre attentif aux deux faces de notre être

Nous rêvons tous de grandeur. On veut réussir, être puissant, et même sauver le monde.

Mais nous avons aussi tendance à fuir les responsabilités et à vouloir rester plus longtemps sous la couette.

Quelqu'un peut dire que la vie est belle et ne pas le ressentir vraiment. Il est comme tiré en arrière par ses états d'âme et tourne en rond en répétant que la vie est dure.

Un volcan de contradiction couve. Essayez de le sonder. Il y a opposition entre ce que l'on veut vraiment et ce que l'on croit vouloir. C'est le conflit de l'âme et du corps.

Quand vous aurez pris conscience de cette dichotomie, vous serez en toutes circonstances, en mesure d'identifier qui, de votre âme ou de votre corps, se manifeste. Vous vivrez ainsi plus intelligemment et serez sûr de faire les bons choix.

L'étape suivante est de réconcilier ces deux facettes en vous. Le moyen le plus simple serait d'étouffer votre pulsion de grandeur. Mais, il ne s'agit pas de se suicider. Changer ses habitudes n'est pas facile et grandir peut faire peur. Pour autant, ce n'est pas parce que la chose est difficile qu'elle ne vous convient pas.

Prenons un exemple : de la richesse et du bonheur, qu'est ce qui vous importe le plus ? Le bonheur bien sûr. Mais imaginons le dialogue suivant :

" Bon, je vais t'apprendre comment atteindre le bonheur. Ca demande juste un petit effort et du changement. "

" Je veux bien, mais pas tout de suite. J'ai un avion à prendre. "

"Ah ! Et qu'est-ce que tu dirais si je te payais 50 000 F par semaine pour t'enseigner le bonheur ? "

" Pas de problème. Je signe où ? "

" Mais ne viens-tu pas de me dire que tu ne pouvais pas tout de suite…"

En fait, nous masquons les problèmes en nous justifiant a posteriori: " Je ne vais pas me prendre la tête à réfléchir sur le sens de la vie ! Personne n'a jamais élucidé la question. D'ailleurs qu'est-ce que ça va apporter ? Et puis, qu'est-ce que ça peut me faire ? Je n'ai pas de temps à perdre. "

Les Sages expliquent qu'une personne ne peut fauter que si un esprit de folie s'est emparé d'elle. Soyons conscients que nous nous battons contre la folie. Soyons vigilants, car si l'on quitte la route, on risque de le payer très cher.

Alors, d'accord pour le changement ? Qu'est-ce qui vous retient ? Sentez-vous l'antagonisme de votre corps. Le corps est paresseux, il n'aspire qu'à dormir : " Le changement ? Pouah ! Pas pour moi merci ! Je suis très bien comme ça. Ma petite vie me convient parfaitement ". Pourtant, de la même façon que l'on n'est jamais assez riche, est-on jamais assez heureux ?

Voyez-vous à présent la nécessité qu'il y a à débusquer la bête qui vous harcèle : la peur du changement.

Si vous êtes vigilant et que vous avez repéré l'ennemi, vous pouvez le combattre. Il peut vous arriver de perdre une bataille contre votre être corporel, mais alors vous agirez en connaissance de cause.

Amadouer l'être corporel

Essayez d'atteindre votre être spirituel. Décidez de ce qui doit vous guider. Le libre arbitre ne doit pas rester au niveau de l'inconscient. Vous voulez grandir, mais le corps se montre récalcitrant ?

Pour le convaincre, mettez en relief le bénéfice que vous tirerez de votre changement. " Pourquoi est-ce nécessaire ? Qu'est-ce que cela m'apportera ? " Il s'agit de parvenir à une prise de conscience émotionnelle : " Qu'ai-je à perdre ? Qu'ai-je à gagner ? " C'est ainsi que l'idée fera son chemin et que vous vaincrez.

Le secret, c'est de justifier l'idée et d'y amener votre cœur en douceur. Exemple : si vous êtes intimement persuadé qu'il vous faut être en forme, la fièvre et les palpitations seront sans effet sur vous, car vous avez décidé ce que vous vouliez.

Pour parer toute contre-attaque, votre for intérieur doit être en complet accord avec le changement décidé. Rassurez votre corps. Cajolez-le : " Tu verras, ça ira. Rappelle-toi la dernière fois que tu as fait un effort, comme tu t'es senti bien après ! " Soyez encourageant et récompensez-vous de votre succès.

Et tant que vous n'avez pas fait l'effort, ne dites pas que ça ne marchera pas. Ne renoncez pas sur une simple intuition.

Soyez attentif à l'influence sur vous de certaines pulsions : la quête de confort, le respect de soi, l'honneur, les passions, la pression sociale, l'argent. Faites particulièrement attention à faire face à vos responsabilités. Quand nous commettons une erreur, nous voulons nous excuser de manière franche et honnête. Mais, nous sommes également tentés de faire comme si de rien n'était et de nous défiler en disant " C'est pas de ma faute. "

Là est la source du conflit. On veut être dur, battant, puissant quand d'un autre côté on se contenterait bien d'être une chiffe molle. Suivre la voie indiquée par l'âme ne va pas de soi. Cela demande beaucoup de temps et d'efforts.

Savoir ce que l'on veut

Comprendre une idée ne signifie pas qu'on est capable de la mettre en pratique. Il est tout à fait possible de croire en quelque chose et d'agir de manière opposée, et cela nous arrive quotidiennement. Ne savons-nous pas parfaitement qu'il est important de manger sainement, quand nous engloutissons notre énorme assiette de frites ou notre géante barre chocolatée ?

Nos actes sont déterminés par notre degré de clarté d'esprit. Si nous appréhendons l'idée au premier degré, nous aurons toutes les difficultés à la mettre en pratique dans des conditions épineuses.

Avez-vous remarqué, lors de funérailles, comme les gens se mettent à pleurer au moment de la levée du corps. Est-ce parce qu'ils ne veulent pas que le corps s'en aille ? Non. Ils prennent soudainement conscience de la mort, et du départ définitif du défunt. Au cimetière, ils se remettent à pleurer au moment où le cerceuil est mis en terre, car ils sentent alors que tout est bien fini.

Tant qu'il y a un décalage entre les sentiments et la réalité, on est sur un petit nuage. Grandir commence dans l'esprit, mais le cœur doit s'investir dans chaque nouvelle découverte de l'intellect. C'est à cette condition qu'on peut intégrer ces idées dans sa propre existence.

On trouve insensé que tant de gens croient en D.ieu mais lui accordent si peu de place dans leur vie. Ce que nous tenons pour vrai ne doit-il pas faire partie de nous ?

Connaissez-vous comme votre main.

Comment savoir que vous êtes sur la bonne voie ? Comment être sûr de ne pas vous tromper ?

Pour développer cette capacité de discernement, formulez clairement les principes importants qui doivent diriger votre vie. Dans le judaïsme par exemple, nous supposons qu'aimer son prochain est une obligation. Est-ce réaliste ? Débattez de la question avec vous-même :


" C'est ridicule, on ne peut pas forcer à aimer. "
" Si j'ai des enfants un jour, est-ce que je les aimerai ? "
" Bien sûr ! "
" Qu'est-ce que j'en sais ? Je ne sais pas ce qu'ils seront. Ce seront peut-être des sales mômes. "
" Je les aimerai. On doit aimer ses enfants. "

Intuitivement vous savez qu'aimer est une obligation, mais l'idée n'est pas simple à concevoir.

Alors, prenez votre temps. Analysez les concepts primordiaux de la vie et posez-vous des questions profondes sur l'existence en général et sur son aspect spirituel :

- Quel est le sens de la vie ?
- Quel est l'intérêt ?
- Qu'est-ce que je pense des hommes ?
- Qu'est-ce que la vie après la mort ?
- Que signifient le bien et le mal ?
- Ai-je un libre arbitre ? Comment est-ce que je l'exerce ?
- Qu'est-ce qui m'attriste ?
- Et D.ieu dans tout ça ?
- Suis-je fier d'être juif ?
- Comment je comprends l'holocauste ?

Certaines de ces questions vous sont désagréables ? Pourquoi ? Essayez d'analyser.

Ne resservez pas les idées reçues, sinon ce sera juste du bavardage. Nous avons absorbé, sans les analyser, tant d'idées toutes faites.

Vérifiez. Prenez tous les sujets à bras le corps, jusqu'à ce que vous en soyez complètement maître. Une personne qui sait où elle veut aller y parvient toujours. C'est comme un missile, s'il est correctement programmé, il atteint sa cible.

Pourquoi la connaissance de soi est-elle un élément de la sagesse ?

Vous saurez la vérité si vous regardez en vous avec honnêteté. Les émotions sont des moteurs importants de l'accomplissement se soi. Connaissez-les et employez-les à bien. Sachez identifier les problèmes, c'est déjà un début de solution. Si vous ne vous y mettez pas maintenant, vous allez au devant de graves erreurs. Ne craignez pas de découvrir qui vous êtes vraiment. Votre libre arbitre est un outil qui vous permettra de vivre plus pleinement. Quand vous êtes contrarié ou en colère, tâchez de remonter à la source de votre malaise. Quand vous avez tort, reconnaissez-le. La clé du bon sens est d'introduire la vérité dans l'être corporel. N'attendez pas pour faire connaissance avec vous-même. Vous êtes la personne la plus fascinante que vous rencontrerez jamais.

Traduction et Adaptation de Béatrice Cohen-Solal


A PROPOS DE L'AUTEUR
le Rabbin Noah WEINBERG
Le rabbin Noah WEINBERG est le doyen et le fondateur de Aish HaTorah International. Au cours des 40 dernières années, ses programmes éducatifs imprégnés d’intuitions visionnaires ont rapproché de leur héritage des centaines de milliers de Juifs
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COMMENTAIRE(S) DE VISITEUR(S)  7
connaissance de soi - 8 Novembre 2005 - par CREUZET Lynda
Parfait exposé. J'en suis très soulagée car je suis en quête de la recherche d'une méthode de discernement, je manque de confiance en moi.
connait toi toi meme. - 3 Novembre 2005 - par Nicolas rousseau
Ce texte est en effet interressant sur certains points, mais je decele une erreur dans le passage:
" Pour quelle raison ?
Parce que mon patron m'a en....
Alors, pourquoi suis-je irrité ?
Parce que je lui en veux.
Et alors ! En quoi cela m'ennuie ?
Je me sens nul.

En fait, c'est lui qui est nul !"

faux c´est effectivement toi qui est nul, ton égo t´a poussé a t´irriter. Mon patron est très special, mais il n´a aucune emprise sur moi parce que je n´ai pas d´ego.
bizz a tout le monde
connait toi toi meme - 1 Novembre 2004 - par mithe hem <mitorihe@yahoo.fr>
Ce que j'ai lu m'a énormément touché car dans un sens il s'adresse à moi car je me suis enferme dans routine qui m'empêche de voir plus loin en moi.
Connaît toi toi même - 18 Septembre 2004 - par Humanoïde Bipède <fan.oche@laposte.net>
On ne peut pas se connaître entièrement...C'est hors de notre portée...
Car nous pouvons connaître la partie conscient ede notre être, mais qu'en est-il de l'autre partie?
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