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qui est D? - 7 Septembre 2013 - par Bru Bernard La confiance d'Abraham en D. est totale. Comme un enfant envers son père. En ces temps l'infanticide est une pratique idolatre que D. interdit:Lévitique 20 D. veut faire comprendre à Abraham que sa relation avec lui est "spécial", unique. Elle n'est pas basée sur la peur, l'angoisse, la violence, la crainte. Pour moi, symboliquement, c'est une rupture, la naissance du monothéisme, le début de la fin du sacré. De la proximité entre D. et l'homme. Mais tout ceci n'est qu'un commencement. le sacrifice d'Isaac - 17 Juillet 2009 - par neufeind winfried Dans le règne des animaux un fils devient un concurrent pour son père et le père peut avoir des idées d'éliminer ce fils. Dans le cas d'Abraham l'ange qui lui retient le bras peut aussi être sa pensée humaine qui lui indique de chasser son coté animal et le remplacer par l'amour et l'élever dans une autre dimension et se rapprocher de la pensée du Créateur de toutes choses qui est Amour. Ce fils est aussi le prolongement de son âme et son futur, tout en sachant que la vie de son fils appartient au Créateur de toutes choses, et que c'est au père d'apporter l'approche de la connaissance de D'ieu à son fils. Si le père défaille dans sa mission d'enseignement le fils s'adressera directement au Créateur de toutes choses afin de préserver et sauver par sa manière d'ètre et sa liberté pour devenir un homme debout. Par cette attidude il sauvera aussi son père. Et si cette histoire avait aussi une autre signification?
Et si cela ne voulait pas dire tout simplement:
Tu ne tueras point, même au nom de D.ieu!
Qu'il est impossible de tuer au nom d'un D.ieu créateur!
Qu'un meurtre, -ou assassinat-, ne peut être commandé par Hachem!!
c'est plutôt à cela que je crois. ligature d'Isaac - 25 Novembre 2003 - par uzzan yehoudah Lorsqu'Abraham annonce à ses serviteurs qu'il va revenir après le sacrifice, il dit au verset 22,5 vaani véhana'yar nélkha ... vénichtahavé vénachouva aleikhem.
Selon Rachi,il pressentait par nevouah qu'il reviendrait avec son fils; il savait donc que
- soit D. arrêterait son bras
- soit l'ordre incompréhensible n'était pas d'origine divine.
Dans les 2 hypothèses, le mérite d'Abraham ne serait-il pas d'avoir été jusqu'au bout dans les actes préliminaires mais sans accepter d'exécuter une immolation exécrable, d'avoir ainsi gagné contre D un bras de fer, (alors qu'il avait perdu sa plaidoirie audacieuse lors de la destruction de Sodome et Gomorrhe?
Pour Ba'al Hatourim vénachouvah aleikhem se lirait vénachouva el hachem; ce déplacement de sens et de mot est-il justifié? de quelle faute se repentirait-il?
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