Viktor Frankl, un physicien juif qui a passé les années de la seconde guerre mondiale dans les camps de concentration à Autschwitz et à Dachau raconte,
"Je me rappelle du dilemme auquel j'étais confronté dans les camps de concentration face à un homme et à une femme qui étaient au bord du suicide ; tous deux m'avaient dit qu'ils n'attendaient rien de plus de la vie.
J'ai demandé à mes deux compagnons de prison si la question était vraiment ce que nous attendions vraiment de la vie. N'était-ce pas plutôt, qu'est ce que la vie attendait de nous? J'ai suggéré que la vie attendait quelque chose d'eux." La personne qui se sent désespérée et découragée se pose une mauvaise question.
Elle se demande ce que le monde lui donne. Dès qu'elle change sa question pour se demander quel bien elle peut faire, elle sera toujours en mesure de trouver une réponse.