L’office ayant pris du retard, la foule n’était pas nombreuse autour de la synagogue, comme c’était prévu. On dénombre toutefois 4 morts, dont trois passants non-juifs et une trentaine de blessés. C’est le groupe Abou Nidal qui revendique l’attentat.
Le Premier ministre, Raymond Barre, choque le 3 octobre en déclarant sur TF1, « cet attentat odieux a voulu frapper les israélites qui se rendaient à la synagogue, il a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic ».