102 personnes trouvent la mort. Une organisation terroriste proche de l’Iran prend la responsabilité de l’attentat.
En 2002, le New York Times publie un témoignage selon lequel Téhéran avait versé 10 millions de dollars au président Menem pour qu'il fasse dévier l'enquête.
Le 25 octobre 2006, la justice argentine a, en la personne du procureur fédéral de Buenos Aires, Alberto Nisman, officiellement accusé le gouvernement iranien et le mouvement libanais Hezbollah d'être responsable de l'attentat. Les services secrets israéliens et certains services occidentaux attribuent la planification de l'attentat à Imad Mougniyah, membre du Hezbollah, qui fut assassiné le 12 février 2008 dans un attentat à la voiture piégée à Damas.
Un mandat d'arrêt international pour "crimes contre l'humanité" a donc été délivré le 9 novembre 2006 par le juge fédéral Rodolfo Canicoba Corral à l'encontre de l'ancien président Hachemi Rafsandjani et de sept autres fonctionnaires et diplomates iraniens dont l'ancien ministre de l'Information et de la Sécurité, Ali Fallahian, l'ancien ministre des Affaires étrangères Ali Ar Velayati, deux autres anciens diplomates et un ancien responsable de la sécurité du Hezbollah.
Londres a arrêté et relâché l'ex-ambassadeur iranien Hadi Soleimanpour, pour manque de preuves.
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Extraits de Wikipedia.